Quand les OVNIs rencontre des avions de ligne
L’OVNI et l’Airbus
Description de l’observation :
28 janvier 1994 : l’Airbus A320-111 assure la liaison Nice-Londres avec 24 passagers à bord. Le temps est beau, l’altitude de l’avion est d’environ 117000 mètres ; la visibilité est excellente, entre 200 et 300 kilomètres. Dans la cabine de pilotage, le commandant Jean-Charles Duboc est assisté par sa copilote Valérie C. A 13h14, le steward signale un objet sur la gauche de l’appareil.
L’équipage pense d’abord qu’il s’agit d’un avion en virage à 45 degrés d’inclinaison. Finalement, steward, pilote et copilote s’accordent pour dire que ce qu’ils observent ne ressemble à rien de connu. Selon les estimations de ces professionnels, l’objet est à une distance d’environ 50 kilomètres et à une altitude de 10 500 mètres.
Compte tenu de son diamètre apparent, l’objet est de grande taille. La forme de l’OVNI semble changeante : pour le pilote, l’objet a tout d’abord la forme d’une cloche aplatie qui se transforme en un disque rouge sombre, puis revêt la forme d’une lentille juste avant de disparaître subitement. La copilote voit pour sa part un disque brun sombre qui change de forme en permanence, alternant contours nets et flous, pour terminer par une sorte de flèche avant de se volatiliser. L’observation aura duré environ une minute
Nous sommes le 17 novembre 1986. Un Boeing 747 de fret des Japan Air Lines (JAL), parti de Paris et ayant fait escale à Reykjavik, Islande, se dirige vers Tokyo via Anchorage au dessus de la Mer de Beaufort, sur la côte nord de l'Alaska. Le temps est clair et le vol 1628 a été jusque-là sans le moindre incident. Il transporte, entre autres, des bouteilles de Beaujolais, ce qui inspirera les médisants! Il est 18 h 13, heure locale, et le crépuscule s'installe.
Le soleil a disparu à l'horizon (il est à 11 degrés en dessous) quand le pilote, Kenju Terauchi, 47 ans, repère à gauche, au loin, à l'avant de l'appareil, « deux lumières clignotantes » dont il estime être séparé de 11 à 12 km environ. « Sûrement des avions de chasse ou des jets en mission spéciale », pense-t-il. Mais au lieu de s'éloigner, les feux tantôt blanc, tantôt jaunes, demeurent en position à 600 mètres au dessous de l'avion.
Il est 18h 19 quand Terauchi décide d'alerter par radio les contrôleurs radar du trafic aérien de la FAA (Administration Fédérale de l'Aviation US) à Anchorage. Carl Henley, technicien, est devant son écran, 10 km plus bas et il entend le copilote Takanori Tamefuji, qui, lui aussi, voit des taches brillantes, demander: « Eh, nous avons là-bas en vue deux lumières devant nous... »
Avant même qu'il puisse répondre qu'aucun appareil n'est sensé se trouver dans les parages, les deux points lumineux commencent à « manœuvrer ». « Comme deux jeunes oursons jouant l'un avec l'autre », dira plus tard Terauchi ! Et ils viennent se placer devant l'appareil, à moins d'un kilomètre de distance, lançant des jets flamboyants au point que le pilote a une sensation de chaleur sur le visage à travers le cockpit.
Il évalue leur taille à celle d'un DC 8. Mais ils n'en ont aucunement la forme. Celle-ci ne rappelle rien de connu: ce sont « deux cylindres enveloppés de raies de lumière pointillées latéralement qui partent d'un centre plus sombre ». « Comme du charbon de bois piqueté de cendres ardentes et incandescentes ».
Et tout cela se déplace « en formation » avec le jumbo jet à 900 km/h, « comme contrôlé par une intelligence » (Terauchi). En bas au sol, les contrôleurs ne voient rien d'autre sur l'écran que le 747. Mais voilà que les objets lumineux s'éloignent vers la gauche et disparaissent.
On respire à bord, ayant craint un moment la collision. C'est alors qu'un spot s'inscrit sur le radar de bord de l'avion, à gauche encore. L'équipage regarde dans cette direction. « Quelque chose » est là en effet qui semble suivre l'appareil: « une grosse bande de lumière blanche brillante ». La voix du pilote est, cette fois, secouée de tremblements. Les contrôleurs focalisent leur radar pour mieux voir. Une image apparaît sur l'écran, précisément là où le pilote a signalé l'objet. La base militaire de l'Air Force de Elmendorf alertée, confirme l'observation. Il est 18h 26.
Vidéo prise pendant le défilé d'hélicoptères
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