Le projet Phenix ou la recherche d'artefacts extraterrestres
C'est un projet de recherche et d'Analyse d'Artefacts de Civilisations Extraterrestres
potentiellement présents sur Terre....
C'est aussi un nouveau concept de recherche SETI (Search for Extraterrestrial Intelligence), nommé SETAV, basé à la fois sur un protocole SETV (Search for Extraterrestrial Visitation ou Recherche de Sondes Extraterrestres dans le Système Solaire ou sur la Terre) et un protocole SETA (Search for Extraterrestrial Artefact ou Recherche d'Artefacts Extraterrestres dans le Système Solaire ou sur la Terre
De tout temps l’humanité s’est tournée vers le ciel en se posant la question de sa place dans l’univers observable.
Le regard tourné vers les étoiles, nous ne cessons de projeter nos désirs inconscients, cherchant désespérément des réponses à nos interrogations primitives et modernes.
Entraînés sur une voie dont nous ne connaissons que si peu de choses, nous cherchons depuis la nuit des temps à résoudre la question fondamentale de nos origines, tout en espérant au plus profond de nous que la vie ne soit pas un processus unique, ayant pris corps exclusivement sur la planète bleue, la Terre.
Cette question des origines de la vie et notamment d’une vie autre que celle présente sur notre planète, est la question la plus fondamentale que l’humanité ait pu se poser depuis l’émergence de la conscience.
Nos origines, à ce jour encore mystérieuses, nous mènent inexorablement, non seulement à lever les yeux vers les étoiles comme un appel indescriptible mais nécessaire, mais aussi dans un temps proche et évident, à emprunter une voie nouvelle pour l’humanité ; celle de l’exploration et de la colonisation planétaire, puis stellaire.
La fondation se dote de moyens exceptionnels tels que :
- un sous-marin de poche, le ROV (Remote Operated Vehicle)
- une station de mesure automatique (AMS) qu'utilisera la fondation Phenix sur les 6 continents, pour la détection, l'enregistrement et l'analyse de phénomènes aériens suspects,
l'AMS
et se dote aussi d'un département de recherches stratégiques comme l'astro-archéologie(SETA).
C’est grâce ces moyens que nous avons toutes les chances de pouvoir prouver l’existence d’une vie intelligente extraterrestre dans des délais raisonnables, celle d’une vie humaine, maintenant.
Cela est totalement envisageable, non grâce à des projets SETI (Search for Extra-Terrestrial Intelligence ou Recherche d’Intelligences Extraterrestres), américains, australiens et coréens, tournés vers l’écoute radio des étoiles les plus proches de nous parmi les 200 à 300 milliards d’étoiles de notre galaxie, mais grâce à un tout nouveau projet SETI, totalement original, inédit et unique, le projet Phenix, est tourné vers la recherche et l’analyse scientifique systématique des possibles preuves matérielles visibles sous nos yeux, à savoir sur Terre, d’une présence et activité soutenue sur notre planète, passée ou actuelle, d’une ou plusieurs ethnies extraterrestres.
Si des ethnies extra-terrestres visitaient la Terre dans des temps reculés, il devrait y avoir des traces de leurs passages passés, en particulier, des restes d'objets qui pourraient être trouvés par l'archéologie, la géologie, la géophysique.
En effet, il existe de tels rapports de découvertes. La conclusion qu'il y a des objets antiques de provenance extraterrestres sur Terre est encore très incertaine dans bien des cas, car généralement aucune étude scientifique sérieuse n'est entreprise, ou validée, mais il est important de noter au moins que de tels cas existent : il subsiste bien sur Terre des objets antiques suffisamment étranges pour que des chercheurs d’états ou indépendants pensent qu'ils ne puissent être que d'origine extra-terrestre.
Ces artefacts ont été retrouvés par des expéditions, des recherches, des missions, qui n’avaient absolument rien à voir avec le dossier UFO en question. Ce sont pour la plupart des géologues, archéologues, anthropologues…, qui ont extrait des strates géologiques des objets qui n’avaient absolument rien à faire dans l’histoire des couches sédimentaires étudiées.
La recherche d'artefacts est la priorité du projet phenix :
1) Au cours des dernières décennies, les mineurs sud-africains ont trouvé près de 200 sphères métalliques, dont au moins une a trois cannelures parallèles autour de son équateur. Roelf Marx, conservateur du musée de Klerksdorp, Afrique du Sud, où une partie des sphères est logée, a indiqué:
« Les sphères sont un mystère complet. Elles semblent synthétiques, pourtant à ce moment dans l'histoire de la planète, lorsqu'elles sont apparues et ont été déposées dans cette roche aucune vie intelligente n'existait. Les globes sont trouvés dans le pyrophyllite, qui est extrait près de la petite ville d'Ottosdal au Transvaal occidental.
Ce pyrophyllite est un minerai secondaire tout à fait mou avec un compte de seulement 3 sur l'échelle de Mohs. D' autre part, les globes sont très durs et ne peuvent pas être rayés, même par l'acier. ».
Ces sphéroïdes sont de couleur bleu acier avec des reflets rouges et tachetés de petits filaments blancs. Ils sont en acier au nickel, que l'on ne trouve pas à l'état naturel ; ce ne sont donc pas des météorites ! Certains, accidentellement cassés, sont remplis d'un matériau spongieux qui se transforme en poussière au contact de l'air. Ces globes sont extraits d'une couche rocheuse datée géologiquement de 2,8 à 3 milliards d'années (confirmé à l'aide de techniques de datation isotopiques). Ils sont exposés au musée sud-africain de Klerksdorp. Le conservateur R. Marx a remarqué que mystérieusement, alors qu'ils sont enfermés dans leur vitrine, ils tournent lentement sur leur axe!
2) Un archéologue amateur (non rémunéré par l'Etat), Pierre Tréand (ch), semble avoir découvert en 1987 en Provence, région du sud de la France, des silex gravés en creux dans une masse sédimentaire, datant du Burdigalien, au tertiaire. Le problème c’est que cette masse sédimentaire remonte entre 20 et 25 millions d’années, alors que la datation officielle de la présence de l’homme sur Terre remonterait entre -4 et- 7 millions d’années.
3) Le 2 août 1890, un mortier et son pilon façonnés dans la pierre ainsi que des pointes de lances et une hache en silex ont été trouvés en Californie par J.h. Neale. Il était Conducteur de travaux et surveillant de la compagnie du tunnel de Montezuma.
Il fit cette découverte dans le gravier, sous la lave de la montagne, lors du percement du tunnel. Ces objets manufacturés se trouvaient dans des couches géologiques datées de 33 à 55 millions d'années.
4) En 1938 dans les montagnes de Bayan Kara Ula, dans l'Himalaya à la frontière de la Chine et du Tibet, une équipe d'archéologues chinois entreprit de fouiller systématiquement une série de cavernes interconnectées.
Leur intérêt pour ces lieux avait été éveillé par la découverte d'une série de tombes alignées avec soin qui contenait des restes de squelettes de ce qui devait bien être une race d'êtres humains inédite. Leurs corps étaient petits et frêles, leurs têtes largement plus grandes que des têtes normales, au point qu'on crut d'abord avoir découvert une espèce inconnue de singes, jusqu'à ce que l'absurdité de l'idée de singes qui creusent des tombes décorées pour enterrer leurs morts exclue cette possibilité.
Etudiant un des squelettes, l'un des membres de l'expédition trébucha sur un disque de pierre enfoui dans le sol poussiéreux de la caverne. L'objet évoquait une sorte de disque phonographique préhistorique : un trou parfaitement circulaire en son centre, et un sillon spiralant de petits caractères inconnus.
Personne ne put comprendre le sens du texte, le disque fut étiqueté et expédié en compagnie d'autres découvertes vers Pékin, ou quelques experts s'acharnèrent pendant 20 ans sans succès à les décoder jusqu'à ce que, finalement, le docteur Tsum Um Nui comprit cette écriture inconnue et se mit à le déchiffrer.
L'Académie des Etudes Préhistoriques de Pékin lui interdit de mentionner et de publier son travail, mais il outrepassa cette interdiction deux ans plus tard.
Le texte racontait, d’après ses conclusions, l'histoire d'une "sonde spatiale" pilotée par les habitants d'une autre planète qui s'écrasa dans les montagnes de Baya Kara Ula. Leurs intentions pacifiques ne furent pas immédiatement claires pour la tribu de chasseurs troglodytes qui occupaient les lieux, qui tuèrent encore de nombreux survivants, effrayés qu'ils étaient par l'aspect inhabituel de ces êtres.....
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