UFO Doc Secret

   Michael Drosnin a étudié les travaux d’un mathématicien israélien, le Dr Eliyahu Rips, expert international dans la théorie des groupes. D’après lui, près d’une centaine d’événements mondiaux seraient codés dans la Bible et plus particulièrement dans la version originale en hébreu de l’Ancien Testament. Il affirme qu’il n y a aucune supercherie possible, les tests ayant été réalisés sur un Ancien Testament vieux de 1000 ans et le code confirmé par un cryptographe du ministère de la Défense et des mathématiciens de Harvard, de Yale et d’une université hébraïque.

   La Bible a souvent fait l’objet d’études. De nombreux scientifiques et érudits ont tenté de la décrypter, à différentes époques, pour révéler au monde son code caché et prouver l’origine divine de son auteur.

 Parmi ces scientifiques, Isaac Newton, qui passa la moitié de sa vie a essayé de trouver le code de la Bible, persuadé qu’elle contenait une prophétie cachée de l’Histoire de l’Humanité. Il calcula, à partir du livre de Daniel, la fin du monde pour 2060 soit, d’après ses résultats, 1260 ans après la fondation de l’empire romain en 800 après J-C.
   Ivan Panin, un mathématicien russe consacra 50 ans de recherches aux caractéristiques numériques de la Bible, bien avant l’ère de l’informatique. Il transforma chaque lettre de la Bible en nombre ce qui lui permis de découvrir de nombreux phénomènes numériques. H.M.D Weissmandel rabbin fut l’un des premiers à donner les premières ébauches du code en comptant toutes les 50 lettres pour trouver un mot. L’informatique a permis de grandes avancées dans ce domaine, et, toujours selon Michael Drosnin, il semblerait que la Bible ne puisse être décodé qu’à l’aide d’un ordinateur…

   Les messages qu’elle renfermerait auraient été volontairement codés, il y a plus de 3000 ans, dans le seul but d’être interprétés et compris aujourd’hui, ce qui expliquerait les échecs successifs de tous ceux qui ont tenté de l’étudier sans cette « clé ».

   Rips, aidé par l’informatique, a trouvé de nombreuses pistes et a développé un modèle mathématique complexe qui confirmerait la présence du code. La première étape a consisté à rechercher les noms de 32 grands sages ainsi que leurs dates de naissance et de décès dans l’Ancien Testament et deux autres textes en hébreu.

 Aucun résultat dans les deux livres témoins mais de nombreuses occurrences dans la Bible, soit à peu près 1 chance sur 10 millions de trouver quelque chose soit 10 millions de combinaisons différentes mais une seule coordination correcte. Michael Drosnin insiste sur la véracité de cette découverte en évoquant la vérification effectuée par Harold Gans, cryptographe de la National Security Agency. Ce dernier ajouta à la liste initiale 34 nouveaux noms ainsi que les villes de naissance et de décès ce qui vérifia le code au lieu de l’infirmer. Le Code de la Bible serait en fait une sorte de message secret sous forme de mots croisés géants. 
  

   Pour percer ce mystère, il faut transformer l’Ancien Testament en texte en kilomètre, c’est-à-dire en une suite continue de lettres sans aucun espace ni mise en forme. L’ordinateur cherche alors les mots, les noms et plus particulièrement les lettres occultées par le texte original. Les nouveaux mots apparaissent alors de façon verticale, horizontale et diagonale. De nombreux événements du 20 ème siècle ont été recherchés dans le texte ainsi disposé. Ainsi « débarquement sur la Lune » révéla les mots « vaisseau spatial » et « Apollo 11 ». Cette phase de tests permis de découvrir 1000 événements contemporains codés dans la Bible. Mais le Code de la Bible semble avoir une faiblesse : il n y a pas de hasard et vous ne pouvez trouver que ce que vous savez et que vous voulez trouver. Aucun message n’apparaît de façon évidente. Il faut chercher et trouver le bon mot clé...