UFO Doc Secret

La quête de l'artefact...

   Sommes-nous les premiers à accéder à la technologie sur Terre? De façon naturelle, c'est à dire par le long processus de l'évolution, ou bien artificiellement, quelqu'un d'étranger (alien) à notre monde nous ayant aidé  à franchir certaines étapes prématurément ? Ces questions primordiales ont été débattues depuis longtemps, mais hélas pas assez dans les sphères officielles qui n'osent les aborder.

Officiellement, nous sommes l'ultime et unique aboutissement de la vie intelligente sur notre planète...

   Et pourtant les preuves s'accumulent à l'encontre de cette théorie linéaire et continue dans le cadre de ce qu'on appelle la quête de l'artefact, à savoir un objet anachronique dont la seule présence avérée et confirmée pourrait faire basculer ce dogme paradigmatique selon lequel nous sommes les premiers terriens civilisés.

   C'est tout d'abord dans le cadre de l'hypothèse selon laquelle nous aurions été précédés ici sur la Terre, dans des temps immémoriaux, par des habitants autochtones (humanoides ou non) susceptibles d'une certaine industrie que se place la première possibilité.

Des ancêtres terriens capables d'avoir instauré sur cette planète une société suffisamment développée pour accéder à une certaine technicité et disparue, détruite, anéantie par quelque cataclysme naturel ou même par quelque catastrophe planétaire provoquée plus ou moins volontairement par ces êtres qui peuvent être considérés comme nos ancêtres puisque nous en serions les descendants de rescapés. Certains indices actuels ne vont-ils pas dans le sens d'accréditer que cette éventualité pourrait se renouveler de la même manière à notre encontre ?

Toujours plus de preuves...

   L'annonce, en 1979, que les Russes avaient découvert, dans le desert de Gobi, ce qui semblait correspondre aux restes d'un ordinateur vieux de 25 000 ans sous la forme de "plaques d'une substance apparentée à celle de nos circuits intégrés et plusieurs petits engrenages faits d'un alliage inconnu" : personne n'a pu la recouper. D'autant qu'il semble peu probable que des composants électroniques du type de ceux que nous utilisons puissent subsister pendant 250 siècles même en atmosphère séche eux qui, malheureusement pour nous, ont une durée d'utilisation particulièrement limitée.

   Les fameux disques de Bayan-Kara-Ula (716 au total), vieux de 12 000 ans, soit-disant récupérés dans les années 40 dans une région montagneuse riche en cavernes à la frontière de la Chine et du Tibet et dits recouverts de signes incompréhensibles, dessins et hiéroglyphees, qui rappelaient à certains des disques ographiques, ont hélas disparu du musée néolitique de Banpo de Xian, en Chine, où on disait les avoir localisés. Un Allemand les y a cherchés vainement en 1994.

  Des aiguilles métalliques, l'une dénichée dans une mine du Pérou, qui daterait de 75 000 ans. Dix fois plus ancienne que la date officielle où l'homme est censé avoir utilisé le métal. On serait tombé sur des tiges métalliques effilées similaires encore bien plus vieilles, notamment en Illinois (USA), dans un morceau de quartz d'un million d'années et en Grande-Bretagne où la datation a donné: 40 millions d'années.

   Un "axe" tout rouillé qui fut détéré par plus de 30 mètres de profondeur, près de Cincinnati en 1826. Ancienneté présumée : 50 000 ans ! Et un bouton de fabrication doit remonter à au moins       1 000 siècles. Une vis de 20 millions d'année extraite d'une mine du Nevada, en 1865.

   Un vase en forme de cloche en alliage zinc/argent, qui a été exhumé, en 1851, dans le Massachusettes : l'âge présumé : 100 000 ans ! Un pot méttallique, enclos dans une masse de charbon de 300 millions d'années, découvert en 1910 ! Un médaillon gravé, déterré en Illinois en 1870 par trois ouvriers qui creusaient un puits artésien, remonterait à 150 000 ans !

   Cet outillage ou cette quincaillerie antédiluvienne n'est guère plus probant(e) que le fameux cube de Dr Gurti qui n'était même pas cubique et très probablement la pointe d'une barre à mine en fonte fichée dans un filon de charbon et retrouvée là par un mineur. Certes, on prut rêver mais aucunement ne faire acte de révisionnisme préhistorique à partir d'éléments aussi ténus et invérifiables.

   Restent ces bijoux toujours aussi évocateurs : un glissement de terrain, à Coclé, sur la côte sud de Panama, mit au jour, en 1920, de petits cabochons en or qui sont la copie conforme miniature de feue la navette spatiale... L'assimilation à des représentations de papillons ou de poissons-raies se heurte à cette position verticale de la queue qui ne s'applique à aucun d'eux.

   Dans le plus sophistiqué, bien sûr, il y a aussi le fameux mécanisme de Antikythera, sorti de la Mer Méditerranée près de l'île de Crète en 1900. Il s'agit d'un système à engrenage en bronze rappelant, en plus gros, le mécanisme de nos horloge et remontant à plus d'un siècle av. J-C. On pense qu'il servait à faire des calculs astronomiques. Bien que le Dr Derek J. de Solla Price, de l'université de Cambridge, qui l'avait longuement examiné, ait dit qu'"une chose pareille, c'est comme trouver un avion dans la tombe de Toutankhamon", ses propos furent grandement tempérés par ses collègues.

    le mécanisme reconstitué

   Marteau, découvert à Glen Rose, au Texas en 1934, dans un bloc de grès éclaté dont l'âge fut estimé à 140 millions d'années.

Dans cette vidéo, nous allons voyager à travers les découvertes de Klaus Dona. Grâce à une analyse précise d’anciens artefacts, on peut faire le lien entre de nombreuses traces des civilisations anciennes. Toutes ces traces sont en réalité des preuves qui attestent de l’existence d’une civilisation mondiale qui date d’avant notre ère. Une telle affirmation est-elle possible ? ... En même temps, qui peut être sûre qu’elle est impossible ? Nous suivrons alors les explications de Klaus Dona pour se faire sa propre opinion sur la question !